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Bienvenue dans cet univers gourmand autour des recettes tigre qui pleure, ce fameux plat thaïlandais qui séduit les papilles et les cœurs. Découvrez comment sublimer ce bœuf mariné relevé et tendre pour une expérience gastronomique inoubliable à partager.
Tigre qui pleure (Suea Rong Hai)
Recette de adminPlat : Plat principalCuisine : ThaïlandaiseDifficulté : Moyen4
personnes20
minutes5
minutes—
kcalIngredients
400 g de faux‑filet de bœuf (ou rumsteck)
2 c. à soupe de sauce soja salée
1 c. à soupe de sauce d’huître
1 c. à soupe d’huile végétale
2 gousses d’ail écrasées
1 c. à soupe de nuoc‑mâm (sauce de poisson)
1 c. à soupe de pâte de tamarin
1 petit oignon ou 2 échalotes, finement émincé(e)s
1 c. à café de poudre de piment (ou piment œil d’oiseau émincé)
1 c. à soupe de jus de citron vert (ou plus selon goût)
1 bon bouquet de coriandre fraîche (feuilles et tiges)
Facultatif : ½ c. à café de sucre brun ou miel
Directions
- Trancher le bœuf très finement (env. 5 mm d’épaisseur), contre‑fil.
- Préparer la marinade : mélanger sauce soja, sauce d’huître, huile, ail. Y plonger le bœuf, couvrir et laisser mariner 10‑15 minutes.
- Chauffer un gril ou une poêle à feu vif. Cuire les tranches de bœuf 1 à 2 minutes de chaque côté, jusqu’à légère coloration, sans trop cuire pour conserver la tendreté.
- Préparer la sauce (nam jim jaew) : dans un bol, mélanger nuoc‑mâm, pâte de tamarin, oignon/échalote, piment, jus de citron vert, sucre (si utilisé), coriandre hachée.
- Disposer le bœuf chaud dans un plat, napper généreusement de sauce, laisser quelques instants que les saveurs se mêlent.
- Servir immédiatement, accompagné de riz (thaï parfumé ou riz gluant) et d’une salade fraîche (concombre, menthe ou coriandre).
Notes
- Le nom thaïlandais « Suea Rong Hai » (le tigre pleure) évoque la tendreté de la viande et le piquant de la sauce. C’est un plat à la fois simple, express et spectaculaire. Tu peux ajouter un peu de riz grillé moulu dans la sauce pour la texture, comme en Thaïlande du Nord.
Origine et charme du tigre qui pleure
Les recettes tigre qui pleure, ou « larmes du tigre », puisent leur magie dans la cuisine thaïlandaise. Ce plat met à l’honneur un morceau de bœuf mariné, grillé ou poêlé, dont la tendreté et les saveurs rappellent des larmes de tigre — qu’il s’agisse d’un tigre peinant à accéder à ce morceau ou d’un tigre ému par sa délicatesse ; autant de légendes enrobant ce mets d’un charme mystérieux.
Classiquement, on utilise du faux-filet, du filet ou même du rumsteck préparés avec soin. La marinade est parfumée, et la sauce d’accompagnement, généreusement pimentée, apporte le contraste parfait
Le secret est dans la simplicité et l’équilibre des ingrédients.
Les accords de saveurs pour sublimer la marinade
La richesse des recettes tigre qui pleure repose sur une marinade simple mais équilibrée. On y retrouve généralement :
- sauce soja salée et/ou sauce d’huître, pour un goût umami intense ;
- huile végétale et ail, pour la rondeur ;
- parfois, une touche de cognac, qui apporte un petit twist raffiné
C’est la précision de ces accords qui garantit la tendreté de la viande et la profondeur de son profil aromatique.
L’étape clé pour une viande tendre et parfumée.
La sauce : ce petit coup de folie thaï
Ce qui fait vibrer les recettes tigre qui pleure, c’est l’irrésistible « nam chim nom », ou « nam jim jaew » — une sauce épicée, aigre‑douce et fraîche à la fois. Ses ingrédients typiques incluent : sauce de poisson (nuoc mâm), pâte de tamarin, citron verte, piment, ail, échalotes ou oignons, coriandre, menthe, ciboulette (ou ciboule thaïe), parfois citronnelle ou feuille de keffir, avec du sucre, de la cassonade ou du miel pour équilibrer
Le résultat ? Une sauce vibrante, dotée d’une texture à la fois fraîche et relevée, parfaite pour napper ou tremper le bœuf grillé.
Explosion de saveurs en une seule cuillère.
Astuces pour un plat inoubliable
Pour que vos recettes tigre qui pleure brillent de mille feux :
- coupez le bœuf en tranches fines et régulières pour une cuisson uniforme ;
- laissez mariner plusieurs heures (idéalement une nuit) — le temps est votre allié pour la tendreté ;
- préparez la sauce à l’avance et ajoutez les herbes (coriandre, menthe, ciboulette) au dernier moment pour un maximum de fraîcheur.
Vous pouvez accompagner ce délice d’un lit de riz jasmin ou d’une salade de concombre et radis pour apporter de la fraîcheur et équilibrer les épices
Variantes inclusives et adaptation
Vous avez envie d’une version plus légère ou tout simplement adaptée à vos goûts ? Essayez :
- du bœuf de qualité bio ou locale : pensez à l’origine, surtout pour !;
- une version sans alcool en omettant le cognac — le profil aromatique reste intact avec la sauce.
Pour une alternative sans porc ni alcool, vous pouvez substituer par du filet de poulet ou de dinde, mariné exactement de la même façon — la texture changera, mais la vivacité des saveurs sera toujours au rendez-vous.
Même sans bœuf, le tigre ne perd pas ses larmes de bonheur.
Conclusion gourmande
Si vous voulez faire sensation, les recettes tigre qui pleure sont parfaites : elles allient une viande ultra‑tendre et une sauce épicée, fraîche et complexe, avec ce petit côté mythique qui fait toute la poésie du plat. À vos poêles, et que chaque larme de tigre soit une explosion de saveurs 2026 !